On a vu à quel point la carence en magnésium peut être source de profond déséquilibre général, avec des répercussions physiques et psychologiques potentiellement très graves. Les résultats spectaculaires obtenus par Marianne Mousain-Bosc, pédiatre (La Solution magnésium, Thierry Souccar Éditions) sur des enfants autistiques ou hyperactifs l’illustrent parfaitement. L’efficacité du magnésium dans le traitement de la spasmophilie, de la tétanie, de l’épilepsie et de la dépression est une autre preuve de son efficacité sur des pathologies dont les fondements relèvent à la fois du corps et de l’esprit. « Un seul être vous manque et tout est dépeuplé », écrivit Lamartine. « Un seul minéral vous manque et tout est déséquilibré », pourrait-on dire pour le magnésium ! Il est si simple d’éviter le cercle vicieux de la carence en magnésium (voir la partie « Assimilation du magnésium et mode de vie») avec le chlorure de magnésium, qu’il serait dommage de s’en priver. Tout étant lié et interdépendant, on ne s’étonnera pas de résultats rapides qui sont souvent décrits par ceux qui les ont expérimentés, comme très « physiques », au sens esthétique du terme : un teint moins brouillé, un regard moins cerné, des cheveux plus brillants, des ongles plus solides… et un moral d’acier. Et ça se passe dans quel sens ? Qu’importe finalement puisqu’on va vers le mieux !
Avertissement :
Toutes les informations mises à disposition sur ce blog le sont de bonne foi, et en l’état actuel de nos connaissances. Elles résultent de la compilation de nombreux ouvrages sur le magnésium et le chlorure de magnésium, d’échanges par écrit et par oral avec des professionnels de santé et des spécialistes de la fabrication du chlorure de magnésium, ainsi que d’expérimentations personnelles dans le cadre domestique et privé. Elles ne dispensent pas l’internaute lecteur de prendre les précautions d’usage dans la mise en pratique de ces suggestions d’utilisations. Dans le domaine du bien–être et des soins corporels en particulier, il est important de répéter que le chlorure de magnésium n’est pas un médicament et que la lecture des articles de ce blog ne dispense en aucun cas de consulter un médecin. L’attention des patients sous traitement doit aussi être attirée sur le fait que le chlorure de magnésium peut éventuellement interférer avec certains médicaments. Dans le doute, l’avis d’un professionnel de santé devra sans faute être sollicité.
Bonjour, merci de cet article.
Peut être ne l’ai-je pas lu avec toute l’attention nécessaire, mais je n’ai pas trouvé dans cet article
– le dosage dans la dilution : il y a 20/000 et 11/000., soit 20 ou 11 grammes par litre d’eau.
La dilution 20/000 est destinée à l’absorption par voie orale. C’est l’objet de cet article.
La dilution 11/000 est destinée à la vaporisation sur les plaies et certaines affections cutanées. Pour cet usage la dilution 20/000 creuserait les plaies. Il s’agit des ophtalmies, plaies, prévention des escarres etc. Mais je voudrais bien savoir ce que contient et surtout ce que ne contient pas cet ETC. là. Par exemple il me semble que l’eczéma ne doit pas être traité au chlorure de magnésium…
Je n’ai pas trouvé dans votre article le nom du Professeur DELBET (celui de la Delbiase) On aurait pu citer ses travaux sur les plaies en tunnel, pendant la Grande Guerre.
Mais évidement on ne peut tout dire, et j’ai peut-être lu trop vite.
Bon, moi je voudrais savoir : les afthes, c’est 20 ou c’est 11/000
Merci et encore compliments pour votre article
Jdo
Merci JDo pour ces compléments d »information tout à fait pertinents.
On retrouve ces sujets traités dans les différents articles du blog, notamment les travaux du professeur Delbet et du docteur Neveu.
Personnellement, j’ai utilisé le chlorure de magnésium à 20 g/l pour les aphtes et obtenu de bons résultats, mais il est vrai que c’est assez désagréable car, en plus du goût, cette concentration entraîne une sensation de brûlure (légère…). Une dilution de 11 g/litre sera peut-être suffisante et moins désagréable ?
Merci encore pour vos encouragements et félicitations pour votre érudition.
Nicolas